médecin du sport Genval

Centre de Médecine et d'Etudes

médecin du sport Genval

Médecin du sport

Le docteur Thiebauld, médecin du sport et médecin généraliste, donne ses consultations au 32 clos des Poplis à Genval.

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Le médecin du sport soigne les blessures du sportif et le conseille au quotidien sur son hygiène de vie. Le médecin du sport agit ainsi souvent dans une démarche de prévention. 

Les patients se tournent généralement vers la médecine du sport lorsqu’ils rencontrent des douleurs musculaires ou articulaires qui semblent liées à une activité physique, en cas de blessure avérée (tendinite, entorse ou encore fracture) mais aussi pour toute problématique de santé survenant lors de la pratique d’un sport (par exemple l’essoufflement).

Le médecin du sport soigne les blessures du sportif et le conseille au quotidien sur son hygiène de vie. Le médecin du sport agit ainsi souvent dans une démarche de prévention.

C’est Georges Demenÿ (1850-1917) qui présenta une première tentative de mise en place d’une éducation physique scientifique. Georges Demenÿ est né à Douai en 1850 dans une famille d’origine hongroise (Demenÿ G. : Les Bases Scientifiques de l’Education Physiques, Alcan, 1902.)

La création officielle de la médecine du sport date du 15 Décembre 1949, date à laquelle paraît le programme d’études spécialisées de biologie appliquée au sport, qui sera mise en place à partir de 1950 dans les facultés de médecine françaises. Il s’agit de l’acte de naissance officiel de la médecine du sport. Depuis de nombreuses facultés de médecine forment des médecins du sport qui exercent souvent la médecine générale parallèlement.

Les jeux olympiques de Mexico en 1968, ont engendré un engouement croissant pour la pratique d’une activité physique régulière voire d’un ou plusieurs sports. Les jeux de Mexico, 1968 comptaient 112 participants, ceux de Paris, 2024 en ont totalisés 206.

L’activité physique qu’elle soit à visée sportive ou de bien-être a modifié tous les pronostics des maladies cardio-vasculaires. Il y a 50 ans une appendicectomie nécessitait un repos couché de 5 jours, actuellement un opéré du cœur marche le lendemain de l’intervention. Ces progrès, qu’ils soient dus aux techniques opératoires et ou de l’anesthésie, ont été suscités par la nécessité d’assurer le plus tôt possible une reprise de l’activité physique, celle-ci occupe actuellement une part active dans tous les programmes de revalidation.